L’Index Marcianusconserve un édit, publié sous l’empire d’Anastase parIllus, praefectus praetorio Orientis, qui, pour la destitution desagoranomoi, prescrit un serment de ceux qui composaient le comité électif de ces magistrats municipaux, y compris les clercs, à l’exception de l’évêque. Pour connaître ce qui a amené le préfet du prétoire à cette exclusion, la recherche à vérifié l’existence d’une règle, ecclésiastique ou impériale, qui implique l’interdiction du serment par les religieux. Dans l’Evangile ce trouve la condamnation des touts les serment, mais cette interdiction n’est pas toujours interprété littéralement par la réflexion patristique, en raison de la persistance de l’utilisation du serment dans la pratique, même par des clercs. Il n’y a pas de sources qui attestent que les synodes ont procédé à une condamnation générale duiusiurandum, ou que ils ont interdit le serment au clergé, sauf dans certains situations particulières. Nombreuses lois impériales postclassiques prévues la prestation de serment, que envahit toutes les branches du droit. Selon une constitution de Marcien, conservée dans C. 1.3.25.1b, les serments des clercs ont été interdit à la fois par des règles ecclésiastiques et par un ancien canon des évêques; mais cette norme semble être en contradiction avec la disposition de l’édit deIllus. Dans lesNovelles, Justiniens ne semble pas accepter le principe à la base de la constitution de Marcien, et il semble, au contraire, s’aligner sur l’édit deIllus.
Il Giuramento dei chierici fra diritto romano e diritto canonico / Rinolfi, Cristiana Maria Anastasia. - In: DIRITTO@STORIA. - ISSN 1825-0300. - 11(2013).
Il Giuramento dei chierici fra diritto romano e diritto canonico
Rinolfi, Cristiana Maria Anastasia
2013-01-01
Abstract
L’Index Marcianusconserve un édit, publié sous l’empire d’Anastase parIllus, praefectus praetorio Orientis, qui, pour la destitution desagoranomoi, prescrit un serment de ceux qui composaient le comité électif de ces magistrats municipaux, y compris les clercs, à l’exception de l’évêque. Pour connaître ce qui a amené le préfet du prétoire à cette exclusion, la recherche à vérifié l’existence d’une règle, ecclésiastique ou impériale, qui implique l’interdiction du serment par les religieux. Dans l’Evangile ce trouve la condamnation des touts les serment, mais cette interdiction n’est pas toujours interprété littéralement par la réflexion patristique, en raison de la persistance de l’utilisation du serment dans la pratique, même par des clercs. Il n’y a pas de sources qui attestent que les synodes ont procédé à une condamnation générale duiusiurandum, ou que ils ont interdit le serment au clergé, sauf dans certains situations particulières. Nombreuses lois impériales postclassiques prévues la prestation de serment, que envahit toutes les branches du droit. Selon une constitution de Marcien, conservée dans C. 1.3.25.1b, les serments des clercs ont été interdit à la fois par des règles ecclésiastiques et par un ancien canon des évêques; mais cette norme semble être en contradiction avec la disposition de l’édit deIllus. Dans lesNovelles, Justiniens ne semble pas accepter le principe à la base de la constitution de Marcien, et il semble, au contraire, s’aligner sur l’édit deIllus.File | Dimensione | Formato | |
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